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Déterminants socio-économique des investissements en caféiculture et cacaoculture ivoirienne

Haidara Malick, Sylla Kalilou, Cebron Didier. 2002. Déterminants socio-économique des investissements en caféiculture et cacaoculture ivoirienne. In : L'avenir des cultures pérennes, investissement et durabilité en zones tropicales humides, 5-9 novembre 2001, Yamoussoukro, Côte d'Ivoire = The future of perennial crops, investment and sustainability in the humid tropics : November, 5-9, 2001, Yamoussoukro, Côte d'Ivoire. Assamoi Yapo Robert (ed.), Burger Kees (ed.), Nicolas Dominique (ed.), Ruf François (ed.), De Vernou Patrice (ed.). CIRAD, BNETD, ESI, Vrije Universiteit. Montpellier : CIRAD ISBN 2-87614-502-2 Conférence internationale sur l'avenir des cultures pérennes, Yamoussoukro, Côte d'Ivoire, 5 Novembre 2001/9 Novembre 2001.

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Titre anglais : Socio-economic investment determinants in ivorian coffee and cocoa plantations

Résumé : L'objectif de cette étude est d'identifier les déterminants sociaux économiques de l'investissement en nouvelles plantations de café ou de cacao, dans un contexte de rareté des ressources forestières et de vieillesse du verger. En utilisant un échantillon de 456 paysans et un modèle économétrique, Tobit, l'étude montre que la disponibilité de la main-d'oeuvre et la zone de production sont les facteurs les plus déterminants dans la décision d'investir dans des plantations de café ou de cacao. Par ailleurs, la faiblesse de la superficie initiale plantée en café peut également être un facteur favorable à la décision de planter à nouveau des caféiers, sans doute à cause d'un retour sur investissement réputé plus rapide dans le café que dans le cacao. L'étude conclut qu'une politique restrictive d'immigration aurait sans doute un effet défavorable sur la main d'oeuvre disponible et, partant sur la dynamique d'investissement. Elle observe également que la saturation foncière, pourtant plus forte à l'est, n'entraîne pas un ralentissement de ces investissements, les plantations prenant alors la forme de replantation. Il semble donc que la raréfaction des ressources forestières ne serait pas de nature à freiner à court terme le développement des investissements, pour peu que la maind'oeuvre reste encore largement disponible.

Auteurs et affiliations

  • Haidara Malick
  • Sylla Kalilou, CIRES (CIV)
  • Cebron Didier, BNETD (CIV)

Autres liens de la publication

Source : Cirad - Agritrop (https://agritrop.cirad.fr/507969/)

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