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Variabilité intra-parcellaire et maîtrise de l'irrigation : cas d'un pivot dans l'Orléanais

Granier Jacques, Zanolin Anne, Ruelle Pierre, Nicoullaud Bernard, Ruget Françoise, Dorigny Abel. 2003. Variabilité intra-parcellaire et maîtrise de l'irrigation : cas d'un pivot dans l'Orléanais. In : Vers une maîtrise des impacts environnementaux de l'irrigation : actes de l'atelier du PCSI, 28 - 29 mai 2002, Montpellier, France. Marlet Serge (ed.), Ruelle Pierre (ed.). CIRAD, IRD, CEMAGREF. Montpellier : CIRAD, Résumé, 1 Cd-Rom ISBN 2-87614-544-8 Atelier du PCSI (Programme Commun Systèmes Irrigués) sur une Maîtrise des Impacts Environnementaux de l'Irrigation. 2, Montpellier, France, 28 Mai 2002/29 Mai 2002.

Communication avec actes
Texte intégral non disponible.

Matériel d'accompagnement : 1 diaporama

Résumé : Variabilité intra-parcellaire et maîtrise de l'irrigation: cas d'un pivot dans l'Orléanais. La prise en compte de l'hétérogénéité du sol est une nécessité pour maîtriser les impacts environnementaux de l'irrigation par aspersion en particulier dans les parcelles de grande dimension sous pivot qui se rencontrent aussi bien en France que dans les autres pays du Nord comme du Sud. Il existe une demande aussi bien des agriculteurs pour définir les modes de conduites, en particulier de modulations locales des apports, qui seraient susceptibles d'améliorer la valorisation et de réduire les pertes d'eau, que des constructeurs de matériel pour identifier les développements technologiques nécessaires. La connaissance de la variabilité du sol est souvent insuffisante, en particulier au sein des unités pédologiques considérées comme homogène. Une approche méthodologique a été développée en s'appuyant sur l'expérimentation et la modélisation pour le cas d'un pivot couvrant une parcelle de 50 ha de maïs de la petite Beauce, dans le centre de la France. Lors de la campagne agricole 2000, les apports d'eau ont été réduits sur une partie de la parcelle, en supprimant certaines irrigations sur une travée du pivot. Sur les deux principales unités de sol, la variabilité des caractéristiques hydriques du sol, considéré en tant que "réservoir", est décrite à partir de sondages à la tarière d'une part et d'un prospection géophysique d'autre part. La variabilité des rendements a été obtenue par pesée en continu lors de la récolte mécanique, et est confrontée aux grandeurs précédentes. Le modèle STICS (Brisson et al., 1998) est ensuite utilisé pour représenter les transferts et la production suite à une campagne d'irrigation. Sa mise en oeuvre a été réalisée de manière classique sur les unités principales de la parcelle puis à l'échelle intra-unité; elle fait apparaître l'aptitude de la modélisation à rendre compte de l'hétérogénéité du sol, suivant les contextes et à analyser l'intérêt et les conséquences de la modulation les apports d'eau.

Auteurs et affiliations

  • Granier Jacques, CEMAGREF (FRA)
  • Zanolin Anne, CEMAGREF (FRA)
  • Ruelle Pierre, CEMAGREF (FRA)
  • Nicoullaud Bernard, INRA (FRA)
  • Ruget Françoise, INRA (FRA)
  • Dorigny Abel, INRA (FRA)

Autres liens de la publication

Source : Cirad - Agritrop (https://agritrop.cirad.fr/515446/)

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