Braud Michel.
1970. Etude de l'échantillonnage des prélèvements foliaires pour le contrôle des nutritions azotée et potassique du cotonnier.
In : II Coloquio Europeo y Mediterraneo "Control de la fertilizacion de las plantas cultivadas", memoria general, Sevilla (España), Septiembre 1968. Centro de Edafologia y Biologia Aplicada
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Résumé : Différents modes d'échantillonnage et époques de prélèvements sont utilisés pour l'étude du diagnostic foliaire du cotonnier. Les analyses portent soit sur la feuille entière, soit sur le limbe ou le pétiole. Certains chercheurs se réfèrent à l'azote organique tandis que d'autres préfèrent l'azote minéral. Cette diversité des techniques proposées, jointe à l'observation de résultats aberrants dans une étude préliminaire, nous a conduit à reprendre l'ensemble du problème de l'échantillonnage pour les deux éléments azote et potassium. Cette étude est basée sur l'analyse de la relation constatée entre les quantités d'éléments fertilisants apportés et les teneurs en ces mêmes éléments observés dans les différents organes prélevés. Cette relation peut être assimilée à une régression linéaire dont le coefficient de corrélation donne la précision des observations tandis que les coefficients angulaires des droites de régression correspondantes indiquent la sensibilité. L'étude de la nutrition azotée peut être faite en utilisant deux modes d'échantillonnage. - prélèvement de feuilles à l'aisselle d'une fleur ouverte le même jour, au début floraison, dans le cas de cartographie des déficiences minérales. - Prélèvement de la quatrième feuille de la tige principale à partir du sommet dans le cas d'une étude précise sur la nutrition azotée dans une situation donnée. Le pétiole est à préférer aussi bien pour l'étude de la nutrition azotée que pour celle de la nutrition potassique. L'azote minérale est à retenir. Dans tous les cas, il est important de préciser l'époque d'échantillonnage car les résultats varient beaucoup en valeur absolu au cours de la végétation du plant de cotonnier.
Résumé (autre langue) : Diferentes clases de muestras y épocas de toma son utilizadas para el estudio del diagnostico foliar del algodonero. Los análisis se realizan bien sobre la hoja entera, bien sobre el limboo el peciolo. Ciertos investigadores se refieren al nitrógeno orgánico mientras que otros prefieren el nitrógeno minerai. Esta diversidad de técnicas propuestas, junto a la observación de resultados anómalos en un estudio prelirninar, nos han conducido a reconsiderar al mismo tiempo el problema de muestras para los dos elementos, nitrógeno y potasio. Este estudio se basa en el análisis de la relación constatada entre las cantidades de elementos fertilizantes aportados y los contenidos en estos mismos elementos observados en los diferente organos. Esta relación puede ser asimilada a una regresión linear en la que el coeficiente, de correlación da la precision de las observaciones, mientras que los coeficientes angulares de las rectas de regresión correspondientes indican la sensibilidad. El estudio de la· nutrición nitrogenada puede realizarse utilizando dos tipos de muestras: - Toma de hojas en la rama de una flor abierta el mismo dia, al conienzo de la floración, en el caso de la cartografía de las deficiencias minerales. - Toma de la cuarta hoja del tallo principal a partir de arriba, en el caso de un estudio preciso para la nutrición nitrogenada en una sustancia dada. El peciolo se prefiere también tanto para el estudio de la nutrición nitrogenada como para el de la nutrición potásica. El nitrógeno mineral es preferible. En todos los casos, es importante precisar la época de la muestra porque los resultados varian mucho el valor absoluto durante el curso vegetativo de la planta del algodonero.
Auteurs et affiliations
- Braud Michel
Source : Cirad-Agritrop (https://agritrop.cirad.fr/603774/)
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