Agritrop
Accueil

La fertilisation des plantations forestières : quelles perspectives en Côte d'Ivoire ?

Mallet Bernard. 1985. La fertilisation des plantations forestières : quelles perspectives en Côte d'Ivoire ?. In : Production agricole et maintien de la fertilité des sols dans la zone intertropicale : Actes du 1er Séminaire Régional de l"Institut Mondial du Phosphate, Yamoussoukro, 11-14 décembre 1984, Côte d'Ivoire. IMPHOS. Casablanca : IMPHOS, 1.02 (20 p.) Séminaire régional zone intertropicale, Yamoussoukro, Côte d'Ivoire, 11 Décembre 1984/14 Décembre 1984.

Communication avec actes
[img] Version publiée - Français
Accès réservé aux personnels Cirad
Utilisation soumise à autorisation de l'auteur ou du Cirad.
ID603907.pdf

Télécharger (1MB)

Résumé : La diminution des surfaces forestières, et le souci de maintenir la production nationale de bois à un niveau élevé, ont entraîné la mise en place de reboisements intensifs en Côte d'Ivoire : plus de 50.000 ha de plantations à haute productivité ont ainsi été installés par la SODEFOR depuis une vingtaine d'années. Divers essais de fertilisation avaient été réalisées, de 1968 à 1973, en basse Côte d'Ivoire, sur des espèces à vocation papetière, et sur sol non perturbé. Les résultats n'avaient pour la plupart, pas fait ressortir de gain notable de productivité à courts terme ; ils avaient toutefois mis en évidence la complexité des interactions entre type de sol, espèce plantée, fertilisation et présence de symbiontes. Des études ont également été initiées, de 1979 à 1983 sur l'évolution de la fertilité du sol dans des parcelles plantées manuellement avec diverses espèces, sans que soient mises en évidence des modifications profondes de cette fertilité. Enfin, une approche de la caractérisation des liaisons entre type de sol et croissance des espèces a été réalisée en 1980, mais n'a débouché que sur des considérations assez générales. L'artificialisation croissance de ces plantations (préparation mécanisée du terrain), jointe au choix d'espèces de bois d'oeuvre à révolution plus courte (25 ans), a entraîné, de la part des reboiseurs comme des bailleurs de fonds, un souci de maximiser la productivité. C'est dans cette perspective que la recherche d'une optimisation de la nutrition des arbres plantés apparaît maintenant comme un facteur important du maintien, voire de l'augmentation de la productivité des plantations. Un tel programme de recherches, pourrait s'articuler autour de trois grandes thèses : - Type de sol, alimentation hydrique et enracinement, - Nutrition minérale et fertilisation, - Recherche et utilisation de symbiotes. Cela suppose de la part de la recherche une vision à la fois globale et pragmatiques, de façon à pouvoir assurer un transfert rapide des résultats ver le développement

Auteurs et affiliations

  • Mallet Bernard

Autres liens de la publication

Source : Cirad-Agritrop (https://agritrop.cirad.fr/603907/)

Voir la notice (accès réservé à Agritrop) Voir la notice (accès réservé à Agritrop)

[ Page générée et mise en cache le 2024-03-31 ]