Agritrop
Accueil

Relation entre surface foliaire et échanges gazeux chez le caféier. Effets d'une défoliation manuelle

Gaubiac Anne-Marie. 1988. Relation entre surface foliaire et échanges gazeux chez le caféier. Effets d'une défoliation manuelle. Montpellier : USTL [Université des sciences et techniques du Languedoc], 42 p. Mémoire DEA : Sciences agronomiques. Physiologie de la nutrition : Université des sciences et techniques du Languedoc

Mémoire
[img]
Prévisualisation
Version publiée - Français
Utilisation soumise à autorisation de l'auteur ou du Cirad.
ID606050.pdf

Télécharger (1MB) | Prévisualisation

Encadrement : Muller, Raoul A. ; André, Marcel

Résumé : Ce travail confirme que la normalisation globale de la photosynthèse d'un arbuste par la surface foliaire totale peut conduire à des erreurs lors des comparaisons plants sains et plants infectés. Nos résultats permettent une meilleure exploitation des mesures faites à l'échelle des parties aériennes. En particulier la méthode proposée devrait améliorer les estimations des effets de pathogène sur les activités métaboliques lorsque ces pathogènes provoquent des défoliations. Si l'on en revient à la rouille, il convient de souligner les faits suivants : dans le cas d'attaques portant sur les feuilles âgées, l'abaissement de l'activité photosynthétique ne peut être très grande puisque ces feuilles sont peu actives par manque de lumière ; dans le cas d'attaques portant sur les feuilles plus jeunes (strates extérieures) et plus actives parce que totalement exposées à la lumière, les conséquences de ces attaques seront plus graves tant que la "récupération" d'activité des strates internes ne sera pas complète (c'est-à-dire tant que la défoliation des strates extérieures ne sera pas importante). Ceci confirme que dans toute étude visant à estimer l'importance des attaques, il convient de distinguer les feuilles jeunes (strates extérieures) et âgées (strates intérieures). Nos expériences ont porté sur des plantes jeunes, de petite taille avec les feuilles les plus vieilles seulement âgées de quelques mois. Quand est-il chez des arbustes dont les feuilles des strates intérieures sont plus vieilles ? On peut poser comme hypothèse que les feuilles les plus jeunes sont dans ce cas beaucoup plus actives que les vieilles, donc les attaques sur les feuilles vieilles ont encore moins d'effets que sur nos jeunes plants.

Auteurs et affiliations

  • Gaubiac Anne-Marie

Source : Cirad-Agritrop (https://agritrop.cirad.fr/606050/)

Voir la notice (accès réservé à la Dist) Voir la notice (accès réservé à la Dist)

[ Page générée et mise en cache le 2023-09-01 ]