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Projet amélioration de la qualité et contrôle de la qualité du caoutchouc naturel africain : variabilité du caoutchouc naturel africain. Résultats des essais du deuxième protocole exprérimental

Palu Serge. 2003. Projet amélioration de la qualité et contrôle de la qualité du caoutchouc naturel africain : variabilité du caoutchouc naturel africain. Résultats des essais du deuxième protocole exprérimental. Montpellier : CIRAD-CP, 70 p. N° de rapport : CP_SIC 1558

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Résumé : Une enquête auprès des importateurs de caoutchouc naturel en France a montré que le caoutchouc naturel en provenance de pays producteurs africains serait plus variable que celui en provenance d'Asie. Pour remédier à ce problème et vérifier les observations rapportées, une première étude sur la variabilité de certaines propriétés du caoutchouc naturel et sur le problème d'échantillonnage a fait l'objet d'un rapport en novembre 1998 pour 5 usines: deux usines en Côte d'Ivoire (SOGB et SAPH), une usine au Gabon (HEVEGAB), une usine au Cameroun (CDC) et une usine au Nigeria (PAMOL). Cette première étude sur la variabilité du caoutchouc naturel africain (cinq usines impliquées) a permis d'avoir une image à un instant donné, de la dispersion des caractéristiques physico-chimiques des balles de caoutchouc naturel à la sortie des lignes de production des usines africaines étudiées. Le protocole utilisé prenait en compte un nombre important d'échantillons par ligne de production, pour lesquels seuls les critères de qualité classiques (ISO2000) étaient mesurés. Cette étude a mis en évidence de grandes disparités en matière de niveau moyen mais aussi de dispersion de certaines propriétés. Dans le cadre de la reprise du projet CFC en juin 2000, sous le contrôle de l'UNOPS et de l'IRSG, un deuxième protocole expérimental sur la mesure de la variabilité du caoutchouc africain a été planifié. Toutefois, ce protocole, lors de sa réalisation en 2002, a subi quelques modifications mineures. Seules 4 usines, sur les 6 initialement prévues, pour deux pays seulement au lieu de quatre, ont participé à l'étude. Dans ces conditions, lorsqu'on parle de caoutchouc naturel africain dans ce rapport, il faut l'associer au caoutchouc naturel produit par des usines de la Côte d'Ivoire et du Cameroun seulement. Les principaux objectifs de cette nouvelle étude sont: - vérifier les résultats obtenus en 1998 pour les unités de production des pays producteurs concernés (Côte d'Ivoire, Cameroun, Nigeria et Gabon) sur la variabilité du caoutchouc des usines africaines; intégrer de nouveaux critères physico-chimiques (masses molaires moyennes, taux de gel, indice d'acides gras,...) pour mieux qualifier cette variabilité; - intégrer les observations et des critères spécifiques aux manufacturiers pour s'assurer de la validité des spécifications du grade SAR et son acceptabilité sur le marché à l'exportation. Cette approche devait permettre d'identifier les causes de cette variabilité afin de mieux les contrôler.

Classification Agris : Q60 - Traitement des produits agricoles non alimentaires

Auteurs et affiliations

  • Palu Serge, CIRAD-CP-HEVEA (FRA)

Autres liens de la publication

Source : Cirad - Agritrop (https://agritrop.cirad.fr/513861/)

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